Points de repères - Arts martiaux calligraphie et musique japonaise Oshinkan Dojo

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1- L’historique de Tenshin Bukô-ryû Heihô

La tradition martiale Tenshin Bukô-ryû Heihô puise ses racines dans Toda-ryû sôgôbujutsu (tradition martiale complète d’armes) créé par Toda Seigen pendant l’intense période de guerres civiles appelée Sengoku jidai (1490-1600). Toda Seigen avait étudié Chûjô-ryû (tradition martiale de kenjutsu fondée au XVe siècle par Chûjô Hyôgo no Kami et dont la spécialité était le kodachi (sabre court), avant de créer sa propre tradition. Une maladie des yeux le rendit aveugle. De ce fait il transmit Toda-ryû, tradition familiale, à son frère cadet et se fit moine. C’est durant la période Edo (1600-1868) que la branche Bukô-ryû, sous la direction du treizième sôke, Suneya Ryôsuke Takeyuki (1795-1875), se sépare de la tradition principale, quitte la préfecture de Fukui (anciennement Echizen) et part s’installer sur le mont Bukô (préfecture de Saitama) où elle se spécialise dans la naginata (hallebarde). La tradition s’appelle alors Toda-ha Bukô-ryû. Malgré cette spécialisation, Toda-ha Bukô-ryû a conservé dans son cursus l’étude d’autres armes : tachi (sabre), yari (lance), kusarigama (faucille avec chaîne et poids) et bô (bâton). Le 19 octobe 2008, Nakamura Yoichi sensei a succédé à feu Nitta Suzuo sensei, 19e sôke de Toda-ha Bukô-ryû, maître de Simon Pierre Iwao et de Simon Claire, Nitta Suzuo sensei étant décédée le 1er juin 2008.

Nakamura Yoichi sensei, sôke de la 20e génération, étant décédé le 28 août 2012, la tradition Toda-ha Bukô-ryû est désormais sous la direction du sôke-dairi, Kent Sorensen. Afin de signifier le renouveau de notre tradition, Sorensensensei lui a donné en 2022 le nom suivant : Tenshin Bukô-ryû Heihô – 天真武甲流兵法.Sorensen sensei est soutenu par de nombreux shihan (instructeurs dûment certifiés) exerçant à travers le monde.

2- Le cursus de Tenshin Bukô-ryû Heihô

Le curriculum de Tenshin Bukô-ryû Heihô se divise en 2 parties : le hon mokuroku et le betsu mokuroku.


Etudié en premier, le hon mokuroku constitue la partie principale de l’école et met l’accent sur le développement de la dextérité à manier la naginata, spécialité de l’école. Composé de 36 kata centrés sur la naginata ou la kagitsuki naginata (naginata dont la lame est traversée par un butoir métallique servant à stopper ou rabattre une lame adverse), il se divise en 3 niveaux répartis comme suit : 

1. shoden : transmission de base

Ce niveau comprend l’étude des séries :

  • Tachi awase no koto : naginata contre sabre (5 kata)
  • Ai naginata no koto : naginata contre naginata (11 kata)

2. chûden : transmission intermédiaire

Ce niveau comprend l’étude des séries :

  • Yari irimi no koto : naginata contre yari (5 kata)
  • Kusarigama aiki no koto : naginata contre Kusarigama (5 kata)

3. okuden : transmission profonde

Ce niveau comprend l’étude des séries :

  • Kagitsuki naginata Tachi awase no koto: naginata « spéciale » contre sabre (5 kata)
  • Kagitsuki naginata Yari awase no koto : naginata « spéciale » contre yari (5 kata)


Etudié de manière secondaire, le betsu mokuroku constitue un curriculum séparé où le pratiquant utilise le sabre, arme centrale pour le guerrier classique japonais, ou toute autre arme pouvant lui être opposée. Considéré comme un curriculum de recherche, il n’est enseigné qu’au pratiquant de bon niveau. Le betsu mokuroku se compose de 3 séries :

1. Bojutsu Goten Bunrei : bô contre sabre
2. Kusarigama Tachi Goten Bunrei : kusarigama contre sabre
3. Nagamaki Gokui Goten Bunrei : nagamaki contre sabre

3- L’entrainement selon la tradition Tenshin Bukô-ryû Heihô

Après une période passée à se familiariser avec le maniement de la naginata grâce à la pratique de mouvements de base simples (kihon), le développement et le perfectionnement du pratiquant se fait au moyen de la répétition inlassable des kata composant le curriculum de l’école. Quelque soit son niveau, le pratiquant continuera cependant à pratiquer les kihon tout au long de sa vie. Les kata se pratiquent à deux et opposent shidachi à ukedachi.

  • Shidachi, est littéralement « le sabre qui fait » ou « la lame qui fait ». Il est le novice, celui qui exécute les techniques de l’école et apprend le maniement de la naginata.
  • Ukedachi, est littéralement « le sabre qui reçoit ». Il est l’initié, celui qui aide shidachi et le conduit sur le long chemin rigoureux de l’apprentissage.

Pour un observateur extérieur, lors de l’exécution d’un kata, shidachi gagne et ukedachi perd. C’est évidemment intentionnel : ukedachi accepte de perdre pour développer les qualités physiques et morales exigées d’un bon shidachi et a en ce sens un rôle essentiel. En effet, c’est grâce à ukedachi que shidachi pourra développer engagement, endurance, persévérance, combativité, compréhension des notions de rythme, de distance de combat, d’entrée et d’ouverture, de contrôle de l’adversaire, de contrôle respiratoire, de concentration, …, en sus des qualités techniques inhérentes à un bon maniement des armes. 

Pour attirer shidachi jusqu’à son propre niveau et même le pousser au-delà, ukedachi doit, en plus de qualités techniques et mentales éprouvées, posséder un « cœur » humble et large. Ce n’est qu’à cette condition que shidachi aura toutes les chances de devenir lui aussi un bon ukedachi.
Ainsi, plus qu’une opposition au sens strict, shidachi et ukedachi ont pour rôle de se compléter réciproquement.

1- L’historique de Tatsumi-ryû heihô

 

Tatsumi-ryû fut fondée il y a plus de 400 ans par Tatsumi Sankyô dans ce qui est l’actuelle préfecture de Ehime à Shikoku.

Né dans la période Eishô (1504-1521), Tatsumi Sankyô s’engage très jeune dans une sévère pratique martiale comme tous les fils de guerriers (bushi) de l’époque, et devient chef de guerre. Insatisfait d’une simple compétence technique conduisant à la victoire au combat, il se consacre à la déité Tsumayama Daimyôjin et se soumet à une ascèse physique et spirituelle intense qui lui permet d’atteindre l’illumination (satori). Suite à cette expérience, il crée la tradition martiale Tatsumi-ryû qui s’est perpétuée jusqu’à nos jours.

En 1670, Tatsumi-ryû fut reconnue par le clan Sakura (actuelle préfecture de Chiba) comme style officiel (otome-ryû).

De nos jours Tatsumi-ryû, qui continue a être transmise dans la ville de Sakura de la préfecture de Chiba, a été désignée Trésor Culturel Intangible (mukei bunkazai) de la préfecture de Chiba. Le chef de la tradition martiale, détenteur du titre et garant de la transmission, a lui aussi reçu cette distinction. Lors de cet événement, Kato Takashi sensei (1913-2003), qui a dirigé Tatsumi-ryû pendant de nombreuses années, a été cité publiquement en tant que personne ayant rendu des services méritoires dans le domaine de l’éducation, de la culture et des arts . Son fils et successeur, Kato Hiroshi sensei est l’actuel sôke de cette tradition séculaire.

立身流の級、段、称号その他の資格や伝書を授与できるのは、加藤紘立身流第22代宗家のみです。
宗家より直接授与されたのでない級や段は一切無効です。

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Annonce concernant la remise de grades et de titres de Tatsumi-ryû.

Personne d’autre que Kato Hiroshi sensei, 22e sôke de Tatsumi-ryû, ne peut accorder de kyû, dan, ou autres qualifications et densho concernant Tatsumi-ryû. Tous les kyû et dan de Tatsumi-ryû non décernés directement par le sôke ne sont pas valables. Tout kyû et dan de Tatsumi-ryû attribué par toute personne, enseignant ou organisation, autre que le sôke n’est pas valide.

2- Le cursus de Tatsumi-ryû heihô

 

Le cursus de Tatsumi-ryû comprend l’étude du maniement de nombreuses armes et de techniques martiales. Toutefois, le sabre constitue l’arme centrale de l’école et l’apprentissage de son utilisation en combat mortel (jissen), forme la plus grande partie du curriculum de la tradition. Cette partie, qui s’appelle tôjutsu, peut se diviser en deux parties : le iai et le kenjutsu.

2.1- Le Iai

 

Le iai est la méthode de sabre (tôhô) permettant de contrôler et de vaincre un adversaire à l’instant du dégainage (battô). Il se pratique soit en position à genoux (igumi), soit en position debout (tachi-ai).

Les deux techniques principales du iai de Tatsumi-ryû, mukô et marui, contiennent d’après la tradition, l’essence de l’école.

 

Le iai comprend 3 niveaux

1. niveau Omote: séries Jo, Ha et Kyû
2. niveau Kage : séries Shoden, Honden, Betsuden
3. niveau Zengo Sayû

 

2.2- Le Kenjustsu

 

Une caractéristique de Tatsumi-ryû est de présenter à la fois un très haut degré d’intégration entre le iai et le kenjutsu, et un nombre relativement peu élevé de techniques pouvant cependant avoir un grand champ d’applications. C’est de cette synergie que naissent les qualités requises pour rendre un système combatif efficace.

2.3- Le Yawara

 

Le yawara de Tatsumi-ryû comprend 45 techniques et enseignements incluant des pratiques de combat rapproché sans arme (sude), et des méthodes de contrôle des sabres longs et courts. La plupart des techniques comportent plusieurs variations pour le combat en armure et sans armure.

yawara v

 

Ces 45 techniques se divisent en 3 parties fonctions de la posture des adversaires :

  • les 2 pratiquants sont à genoux (igumi) ;
  • les 2 pratiquants sont debout (tachi-ai) ;
  • un des pratiquant est debout, l’autre à genoux (kumi-ai)
 

Ces techniques incluent des immobilisations (gyaku), des frappes (ate), des projections (nage) et des étranglements (shime).
Le yawara comprend aussi des techniques de réanimation (katsu), des techniques de restreinte par ligature (hojôjutsu).

2.4- Les armes secondaires

 

Si le sabre constitue l’arme centrale de l’école, un certain nombre d’armes autres que le sabre sont enseignées, non comme spécialité mais comme opposant potentiel, afin que le pratiquant de Tatsumiryu puisse en connaître les principes et les vaincre. Dans les kata, le sabre gagne toujours.

1. Techniques de lance (yari) : sôjutsu

  • yari awase : yari contre yari (6 techniques)
  • tachi awase : yari contre tachi (4 techniques)
  • kodachi awase : yari contre kodachi (4 techniques)
 

2. Techniques de bâton (et hanbô) : bôjutsu et hanbôjutsu

  • bôjutsu : bô contre tachi (5 techniques)
  • hanbôjutsu : hanbô contre tachi (3 techniques).

 

Le mesure environ 1m80, le hanbô environ 1m28.

 

3. Techniques de hallebarde (naginata)

  • naginata contre tachi (3 techniques, chacune comportant 1 technique kage)
 

4. Techniques de shuriken, manriki kusari, tessen, jutte

  • pour ces armes il n’existe pas de kata mais des conseils d’utilisation

 

 

3- L’entrainement selon la tradition Tatsumi-ryû heihô

 

3.1- L’entrainement au Iai

 

Outre la répétition des kata, le iai de Tatsumi-ryû propose des cas d’études correspondant à des réponses informelles variées, correspondant à des situations spéciales.

 

  • Kazunuki

 

Durant cet entraînement spécial, le pratiquant d’un niveau avancé exécute plusieurs milliers de fois les techniques mukô et marui, en présence du sôke (chef d’école). En fonction du niveau du pratiquant, ce dernier exécutera 3000, 10000, ou 30000 techniques mukô et marui. Cet entrainement demande une bonne endurance puisqu’il prend au minimum 8 heures continues pour le premier pallier.

  • Tameshigiri, ou test de capacité udedameshi

 

Cet entraînement à la coupe réelle a pour vocation d’éprouver le tranchant (kire aji) et la résistance (kyôjin) d’une vraie lame, ainsi que la capacité à couper (udedameshi) du pratiquant avancé.

.2- L’entrainement au Kenjutsu

L’entrainement au kenjutsu s’effectue au travers de la pratiques des exercices et kata suivants :

  • kihon keiko (pratique de base) : keta uchi, mawashi uchi, mawari uchi
  • kenjutsu omote no kata tachi : tachi contre tachi
  • kenjutsu kage : kodachi contre ôdachi (sabre court contre sabre long), le kodachi gagnant.
  • kenjutsu : gogo no kata

 

 

Le cursus de kenjutsu comporte un entraînement annexe au travers des séries

  • seiganzume ;
  • teitô ;
  • yoroi dôshi.

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